Slow Food :
Quand le locavorisme ringardise le bio
Avec l'avènement de l'industrialisation, notre mode de vie a changé. On a standardisé jusqu'à l'alimentation. De New York à Moscou en passant par Buenos Aires, le célèbre M est devenu un des symboles les plus éloquents de la mondialisation.
Depuis quelques années, Internet et les bas coûts de transports ont permis de réduire les distances et de stimuler l'hyperchoix de la société de consommation. Sauf que l'uniformisation est allée trop loin et que la qualité des produits en a pâti. Tout comme la planète, désormais en danger. En effet, la cuisine industrielle dès le plus jeune âge fait encourir aux consommateurs le risque d'une atrophie des papilles gustatives. Quand à l'état de la planète, ce n'est plus un secret pour personne.
Les plats cuisinés, les conservateurs et les micro-ondes ne font plus rêver nos métrosexuels et recessionistas. Alors juste retour des choses : ils s'engagent désormais pour diminuer la distance que parcourent les produits alimentaires. Une manière de lutter contre le réchauffement climatique, de sauver l'économie locale et de protéger sa santé.
Les plats cuisinés, les conservateurs et les micro-ondes ne font plus rêver nos métrosexuels et recessionistas. Alors juste retour des choses : ils s'engagent désormais pour diminuer la distance que parcourent les produits alimentaires. Une manière de lutter contre le réchauffement climatique, de sauver l'économie locale et de protéger sa santé.