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samedi 17 mars 2012

Slow Food : locavorisme vs bio

Slow Food
Quand le locavorisme ringardise le bio


    Avec l'avènement de l'industrialisation, notre mode de vie a changé. On a standardisé jusqu'à l'alimentation. De New York à Moscou en passant par Buenos Aires, le célèbre M est devenu un des symboles les plus éloquents de la mondialisation. 
    Depuis quelques années, Internet et les bas coûts de transports ont permis de réduire les distances et de stimuler l'hyperchoix de la société de consommation. Sauf que l'uniformisation est allée trop loin et que la qualité des produits en a pâti. Tout comme la planète, désormais en danger. En effet, la cuisine industrielle dès le plus jeune âge fait encourir aux consommateurs le risque d'une atrophie des papilles gustatives. Quand à l'état de la planète, ce n'est plus un secret pour personne.


     Les plats cuisinés, les conservateurs et les micro-ondes ne font plus rêver nos métrosexuels et recessionistas. Alors juste retour des choses : ils s'engagent désormais pour diminuer la distance que parcourent les produits alimentaires. Une manière de lutter contre le réchauffement climatique, de sauver l'économie locale et de protéger sa santé. 

lundi 23 janvier 2012

Les Cash mobs

Les cashs mobs 
pour consommer local

2ème Los Angeles Cash Mob, 8 janvier 2012

    Les mégalo-métropoles, de par leur taille, leur niveau et leur mode de vie, pourront paradoxalement soutenir les petits commerces indépendants et l'économie locale. Mais même à un niveau plus petit, rien n'empêche les consommateurs d'agir de manière responsable et de se libérer des grandes enseignes, des multinationales et de Wall Street. 
     C'est dans l'Etat de New York l'été dernier, à Buffalo, qu'a eu lieu le premier cash mob (abréviation de cash mobilization)Même principe que le flash mob mais pour le shopping, il s'agit d'un happening urbain au cours dulequel des anonymes se rassemblent pour booster voire sauver un commerce local et indépendant en dépendant une somme minimale définie. Une consommation solidaire donc qui redonne du sens à l'acte d'achat et un sentiment de la communauté

mercredi 16 novembre 2011

Adresses Croustillantes Concept Stores

Quelques Adresses Croustillantes à... 
SPECIAL CONCEPT STORE
    Après le mode d'emploi sur les concept stores, Ken vous propose de passer à la pratique : tour du monde des incontournables concept stores des mégalo-métropoles...
Paris (1) : Colette
       Colette et sa fille Sarah Leferl choisirent ce local de 700m2, rue St Honoré, qui ne tardera pas à devenir le temple de la branchitude mondiale, la référence absolue pour les concept stores. Incontournable. Suprenant. Le buzz y est permanent. La sélection mode, high tech, beauté, art, musique, livres gadgets se veut extrêmement pointue... dénichée aux quatre coins de la planète. Le bar à eau reste une curiosité ! L'année dernière, le chiffre d'affaires a avoisiné les 19 millions d'euros.  
213 rue St Honoré, Paris 1er
www.colette.fr

vendredi 15 juillet 2011

Société du vide

La société du vide ?

Les quatre indispensables

   La société du confort, la société opulente occidentale contemporaine n'a fait qu'exacerber  le vide de l'existence de nos pauvres Barbies. Ken a voulu chercher un sens à sa vie.... ? ! Nul besoin, répond la société. Consomme et éclate-toi. Ce vide s'exprime de manière très claire à travers le langage. Ken s'est demandé quels seraient les quatre mots / concepts qui représenteraient le mieux la société américaine voire anglo-saxone dans son ensemble ? Quel vocabulaire faut-il maîtriser pour s'insérer comme un petit robot dans la société de l'hyperconsommation et du divertissement perpétuel.

mercredi 6 juillet 2011

Pepsi : fous-moi la paix !

PEPSI : fous-moi la paix !
    Les Etats-Unis, c'est le pays conquis par la pub. C'est aussi simple que cela. Il suffit de regarder la programmation d'une chaîne de télévision pour comprendre : les séries de 40 minutes sont programmées sur une heure et un film sur trois heures. Le reste ? De la pub ! Or on l'aura compris (Métrosexuel has been ? ; Fashionista has been), Ken n'apprécie pas du tout la publicité envahissante, agressive et abrutissante. C'est le carburant de la société d'hyperconsommation, qui est en train de changer et se doit de changer. 
    Il faut savoir que tous les supports sont désormais utilisés. Les multinationales accordent peu d'égard à la particularité de l'espace public, à la protection des mineurs et au respect de la vie privée. Les publicités viennent s'immiscer jusque dans l'intimité des individus, sans scrupules. 
      Prenons l'exemple de Pepsi Cola aux Etats-Unis et d'une campagne massive lancée il y a deux ans. 



Coca Cola vs Pepsi : une bataille sans fin
     La publicité explique les premiers succès de Coca Cola (le fondateur de Coca Cola consacrait dès le début 20% du chiffre d'affaires à la pub). Créé dans les années 1880, Coca Cola sera rapidement titillé par celui qui deviendra son grand concurrent pendant le XXe siècle : le Pepsi Cola.
      Pour les non-américains, il est difficile de s'imaginer à quel point la lutte est impitoyable. Une sorte de monopoly géant avec des participants sans scrupules. A coups de campagnes de pub, d'innovations marketing (si Coca pense en premier "global", Pepsi invente le "light"), les deux marques tentent de mettre fin au coude-à-coude. Ken a été choqué de constater que, dans tous les Etats américains traversés, les distributeurs de boissons gazeuses sont recouverts de publicités Coca.